Naturalissimum et perfectissimum opus est generare tale quale ipsum est ("l'?uvre la plus naturelle et la plus parfaite est celle qui produit ce qui est semblable à lui-même")
N'est-ce pas aussi de l'opération du gourou que parle le vieil adage alchimique ?
...Le véritable gourou est une eau sans murmure, un étang sans ride ? un miroir lisse et sans tache. Ainsi le disciple, le voyant, se voit lui-même. Le véritable gourou ne fait rien d'autre que de me refléter moi-même, le plus fidèlement possible.
C'est ainsi que le gourou est protéiforme. Et si le G était aussi tout autre chose : G comme grandir, G comme guitare, G comme galanterie...
se voir soi-même
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